Pour transformer ses infrastructures IT, Aldes fait le choix stratégique du Cloud et d'Azure

Depuis un siècle, le groupe Aldes conçoit et fabrique des systèmes dédiés à la maîtrise de l’air au sein des bâtiments. Du confort thermique à la purification de l’air en passant par la protection incendie, la ventilation, et l’aspiration centralisée, cette ETI familiale lyonnaise composée de 2 000 collaborateurs, se donne chaque jour pour mission d’insuffler confort et bien-être dans tous les intérieurs.

Cette expertise de pointe dépasse largement les frontières françaises puisque le groupe couvre pas moins de 60 pays à travers le monde, et se place dans une dynamique d’innovation et d’excellence partagée à tous les étages de l’entreprise, comme en témoigne le projet de migration vers le Cloud et Azure de ses ressources informatiques, piloté par les équipes de Pascal Lozovoy, CIO et CDO, et de Rémi Wuillemin, Responsable infrastructures IT. Ils nous racontent.

Basculer vers une architecture à la hauteur des enjeux

Tout part d’un constat: 90 % des ressources IT d’Aldes reposent sur une architecture centralisée et vieillissante, à contre-courant du groupe qui évolue et poursuit sa croissance. «Notre activité bouge et s’étend» souligne Pascal Lozovoy, «nous avions donc besoin d’une architecture plus moderne, simple et flexible, capable de répondre à nos enjeux business». Il faut en outre moderniser le modèle d’exploitation de la DSI jusque-là artisanal, afin d’aboutir à un dispositif industrialisé.

Se pose alors la question de renouveler l’existant ou de basculer vers le Cloud pour profiter des dernières technologies en date. Après une phase d’étude conséquente, le Cloud l’emporte sur les autres options, et plus précisément Microsoft Azure.

Migrer avec facilité, le credo de Microsoft Azure

Si la flexibilité et les gains financiers proposés par Microsoft sont avantageux, ce ne sont pas ces arguments qui pèsent dans la balance. «Ce qui a fait la différence, c’est la simplicité de prise en main et d’utilisation de Microsoft Azure» explique Rémi Wuillemin, «nous avons migré notre environnement sans difficulté et avec une facilité qui nous a tous réellement surpris». Une aubaine pour cette entreprise à taille humaine, pour qui déployer des projets rapidement et avec efficacité est indispensable.

Aujourd’hui finalisée, la migration est un succès inspirant d’autres filiales, dont une filiale implantée en Europe du Nord qui devrait rejoindre sous peu l’écosystème Azure. Là encore, la simplicité est de mise: «Les différentes entités sont en mesure de migrer leurs machines à côté des nôtres de façon autonome, dans un environnement sécurisé, maîtrisé et homogène» déclare Rémi Wuillemin.

Industrialisation du modèle d’exploitation, allocation optimisée des ressources… Des bénéfices en série

Autre réussite notable: l’industrialisation du modèle d’exploitation, désormais basé sur une approche infrastructure as a code. «Cette transformation a révolutionné nos modes de travail et de fonctionnement» constate Rémi Wuillemin, «nous avons gagné en qualité, en sécurité et en pilotage».

De même, le groupe sait dorénavant mieux chiffrer l’allocation de nouvelles ressources informatiques et les rationaliser, et les dépenses inhérentes à la gestion de l’infrastructure en tant que telle ont été supprimées. Quant aux actions techniques répétitives réalisées en cas d’incident, ellesappartiennent à l’histoire ancienne, dégageant un temps non négligeable pour les collaborateurs. «Grâce au Cloud, nos équipes techniques peuvent aller vers d’autres sujets comme l’intelligence artificielle ou l’automatisation robotisée des processus» affirme Pascal Lozovoy.

Plus qu’un projet, un changement de paradigme pour toute l’entreprise

D’une manière générale, toutes les forces de travail, qu’il s’agisse du support client, des bureaux d’études ou encore des analystes business, tirent indirectement profit de cette modernisation,au travers d’infrastructures aussi disponibles que flexibles. «Ce que l’on a gagné en temps et en coûts par le biais de la migration, on le remet au cœur de la stratégie d’entreprise. On s’investit davantage dans des sujets qui font grandir Aldes» poursuit le CIO.

Sans compter que les collaborateurs ont gagné en indépendance dans la gestion de projets Web et avancent avec sérénité. «La migration s’est déroulée sans aucune perturbation pour le business, ce qui est assez exceptionnel» insiste Pascal Lozovoy, «cela a entraîné une hausse de la confiance envers l’informatique, la DSI, et le travail que nous menons».

Le passage au Cloud a par ailleurs eu pour effet d’améliorer nettement la marque employeur d’Aldes: «Lorsque l’on propose à des profils techniques de travailler sur une architecture moderne dans le Cloud, ça déclenche des passions, de l’intérêt» affirme Rémi Wuillemin, «ça nous donne les moyens non seulement d’attirer de nouveaux talents mais également de fidéliser les nôtres».

Enfin, l’impact de cette transformation se matérialise par une réduction de la consommation énergétique des équipements informatiques, permettant à Aldes d’atteindre un scope 1 proche de zéro. «Le fait que Microsoft Azure fonctionne grâce à une énergie décarbonée participe à baisser notre empreinte écologique» conclut Rémi Wuillemin, ajoutant que si la technologie est souvent perçue comme étant énergivore, elle peut aussi se mettre au service d’une démarche IT responsable.