Le challenge : l’optimisation du workplace
Pour Atos, le poste de travail de chaque employé peut être considéré comme un vecteur d’empowerment, un endroit où repenser son métier. « Ce qui fait la performance d’une organisation, pour nous, ce ne sont pas les outils ou la productivité en soi », nous explique Mélanie de Vigan, Responsable du Développement pour les activités Digital Workplace, Atos. « La performance dépend de l’engagement des employés et de comment on les invite à s’engager, pour qu’ils aient envie de contribuer au succès de l’entreprise et d’en faire plus. » C’est d’ailleurs la mission que s’est fixée Atos à travers son slogan : libérer le potentiel des collaborateurs (« Liberating People Potential »).
Alors que le poste de travail était considéré jusqu’à présent comme un outil qui supportait le business, il devient aujourd’hui, grâce à l’intelligence artificielle générative, l’outil qui fait le business. Les entreprises doivent donc repenser leur manière de travailler et l’interaction de leurs collaborateurs avec les machines. C’est là qu’Atos intervient, en tant que fournisseur de services et leader dans les solutions du digital workplace, pour assister ses clients dans leur transformation numérique avec l’IA.
Concrètement, cela passe par le développement de solutions adaptées à chaque client, en fonction de leur secteur d’activités (RH, informatique, aéronautique…), pour gérer efficacement et en toute sécurité leurs données. Mais cela se traduit aussi par un travail d’éducation, et d’apprentissage. Les collaborateurs ne sont pas toujours spontanément préparés pour formuler les bonnes questions via l’intelligence artificielle. Il faut donc leur apprendre à “prompter”, à être plus descriptif dans leurs demandes pour obtenir des réponses pertinentes aux questions liées aux opérations de leur secteur d’activité.
Avec l’innovation au cœur de son ADN, Atos figurait bien sûr au rang des premiers intéressés pour participer au programme d’accès anticipé (« Early Access Program ») de Microsoft, offrant l’opportunité à plusieurs entreprises de tester en avant-première Copilot for Microsoft 365. La ligne d’activité Tech Foundations d’Atos a donc conclu un nouvel accord avec Microsoft sur une période de trois ans, pour développer un portefeuille stratégique de solutions d’infogérance.
Alexa Van Den Bempt, Senior Vice President, Digital Business Platforms, Tech Foundations, Atos, a déclaré : « En déployant d’abord Copilot en interne, nous sommes en mesure de faciliter la compréhension et l’adoption de l’IA générative chez nos clients, de la stratégie à la mise en œuvre, avec une véritable légitimité. Nous parlons par expérience, et lorsqu’il s’agit d’innovations aussi révolutionnaires, cette expérience est inestimable. » « Nous avions besoin de comprendre et d’expérimenter aujourd‘hui les challenges de Copilot pour pouvoir aider nos clients à l’adopter demain », continue Mélanie de Vigan. « On lit souvent dans les médias les craintes des gens au sujet de l’intelligence artificielle qui pourrait leur prendre leur travail. Or, ce que nous avons constaté dans l’adoption de Copilot chez Atos, c’était au contraire : « l’IA va m’aider ». C’est vraiment ce concept de collaboration entre l’intelligence artificielle et l’humain qui est la clé ».
La solution : Copilot for Microsoft 365, un compagnon vers plus de bien-être pour les utilisateurs
Directement intégré à Microsoft 365, Copilot offre une facilité d’utilisation sans égale, plaçant l’outil exactement là où l’utilisateur travaille au quotidien, pour lui permettre de « faire plus », « différemment », et « mieux ». Que ce soit pour générer le compte-rendu d’une réunion Microsoft Teams à laquelle il n’a pas pu assister en quelques points clés, répondre aux e-mails dans Outlook ou encore résumer un document Microsoft Word existant : « Copilot constitue un vrai changement de paradigme dans l’utilisation des solutions de Microsoft », poursuit Mélanie de Vigan. « L’intelligence artificielle est aussi très utile au niveau de la créativité. Par exemple, pour la génération d’idées ou l’organisation de concepts. Mais d’autres extensions sont également possibles avec Copilot, ce qui est très intéressant pour nous. Nous avons ainsi récemment développé deux solutions plugins : une permettant de pouvoir mieux identifier un expert et une autre donnant l’occasion aux utilisateurs de retrouver plus facilement des informations sur des tickets en cours. »
L’implémentation de Copilot for Microsoft 365 ne se limite pas à la réduction des coûts ou à des économies de temps. Il s’agit plutôt d’une démarche stratégique pour améliorer le bien-être des utilisateurs en réduisant les tâches fastidieuses de leur emploi du temps, par exemple les compte-rendu de réunion, pour leur permettre de se concentrer sur des aspects plus déterminants de leur travail et favoriser plus d’engagement de leur part.
« Avec Copilot, nous allons libérer du temps pour nos employés. Du temps qui va leur permettre de penser, de s’ouvrir à de nouvelles perspectives, de voir les choses différemment. Nous allons les libérer d’une charge excessive pour favoriser la créativité et l’efficacité… » ajoute Mélanie de Vigan.
Et Alexa Van Den Bempt d’ajouter : « Il ne faut pas voir Copilot comme un autopilote, mais avant tout comme un compagnon. Il nécessite toujours de l’intelligence humaine derrière. Mais c’est un assistant dans notre vie quotidienne qui nous permet de nous concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. »
Après seulement quelques semaines d’utilisation, Copilot for Microsoft 365 s’est vite révélé crucial auprès de la petite communauté de 300 employés sélectionnés chez Atos ayant pu obtenir une licence pour tester le programme… A tel point que la forte adoption de Copilot a même conduit Atos à augmenter la distribution des licences en interne pour favoriser l’émulation entre collègues et encourager les équipes entières à utiliser l’outil et se partager des apprentissages. Objectif ? Former 15 000 collaborateurs à l’utilisation de Copilot d’ici fin 2024.
“Il ne faut pas voir Copilot comme un autopilote, mais avant tout comme un compagnon. Il nécessite toujours de l’intelligence humaine derrière. Mais c’est un assistant dans notre vie quotidienne qui nous permet de nous concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.”
Alexa Van Den Bempt, Senior Vice President, Digital Business Platforms, Tech Foundations, Atos
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